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Création : 18/03/2013 à 22:20 Mise à jour : 12/09/2016 à 17:11

SAID HASSANE JAFFAR

APPEL A UN FATIHA

Ce 12/09/2016

APPEL À UN FATIHA

A l'occasion de la quarantaine du décès de El-marhuma Honorine Ranoromalala, les proches du Dr. Martial Henry convi ent la Communauté comorienne à un « fatiha », à 14 H, le dimanche 18 septembre 2016 à la Mosquée de Villejuif / 26, rue Roger Morinet 94800 VILLEJUIF [Bus 131 (arrêt : Hopital Paul Brousse) ou Métro Paul Vaillant Couturier].
Pour toutes informations, joindre :
Hassane Jaffar : 06 95 01 81 74
Poundjal Alibay : 06 89 49 03 00
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#Posté le lundi 12 septembre 2016 17:11

Anjouan sous la botte de JUWA ne doit pas encore une fois défier la souveraineté nationale. C'est dangereux et C'est inadmissible !

Anjouan sous la botte de JUWA ne doit pas encore une fois défier la souveraineté nationale. C'est dangereux et C'est inadmissible !
Les relations diplomatiques se définissent comme des mécanismes de partenariat global et de reconnaissance entre des entités du droit international. Les Comores en est une et les îles composantes de cette entité ne peuvent l'être et relèvent quant à elles de la législation nationale. Ces mécanismes évoluent et peuvent être renforcés par la coopération bilatérale mais il arrive aussi que ces relations soient suspendues voire rompues. Et c'est bien là, que la question dérange, car les Comores a rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran suite aux graves événements contre l'Ambassade d'Arabie Saoudite à Téhéran, en janvier dernier.

Nul ne doit prétendre pouvoir préserver une coopération technique sur le territoire national en dehors de toute existence de relations diplomatiques et ce même, en perdant le peu de scrupule qu'il leur reste pour répondre à un ego sans limite mais certainement aveuglé par le sentiment d'impunité d'autant que tout coopérant doit pouvoir se référer à son autorité nationale à travers sa représentation dans son pays de résidence.

Aucun Etat ne peut se développer uniquement par la politique de la main tendue, d'autant que nous savons aussi que la main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit.

L'intérêt supérieur de l'Etat s'en trouve affecté et aucune transigeance ne peut être concédée, l'intérêt se trouve aussi là où se situent les intérêts partagés avec les Etats amis ou de destin commun. Des raisons économiques déterminent souvent le niveau des relations que les Etats entendent entretenir. Aucun élu quelqu'il soit ne peut s'arroger le droit de contracter avec des Etats étrangers.

Entre la France et l'Iran, c'est une histoire ancienne et il y a eu certes Eurodif en 1974. Mais depuis le retour de l'Ayatollah Khomeini en 1979, leur diplomatie se limite à des relations stratégiques et Alain Juppé répondant à la question de Jean Pierre Elkabbach au "Grand Rendez vous " en date du 28/08/2016, a été plus explicite et avançait des raisons pouvant ouvrir la possibilité de contrôle du programme nucléaire iranien.

Les échanges commerciaux internationaux se font sur la base de deux monnaies le dollar ou l'euro, hors nous savons aussi qu'aucune transaction avec l'Iran ne peut se réaliser avec la monnaie américaine. Les relations avec Washington butent encore notamment sur les sanctions conséquentes aux accusations sur les essais balistiques ainsi que sur sa politique de déstabilisation du Moyen Orient, même si on nous parle de détente, leurs relations sont loin d'être normalisées.

Aux Comores, dès lors que certains de nos concitoyens semblent vouloir oublier l'obligation indue à notre appartenance à la Ligue des Etats Arabes, les politiciens à l'ego surdimensionné se tiennent prêts à tout pour s'offrir le sésame de l'immunité pour une impunité. Ils font preuve de manque fondamental du mode de fonctionnement de l'Etat, du sens de l'Etat et du respect de ses institutions. Le territoire comorien ne doit pas servir de terre-plein pour une politique dépassant la dimension de son territoire, de ses ambitions et de ses moyens.

Le chiisme introduit insidieusement aux Comores est un fait regrettable et son prosélytisme a encore un goût amère, elle a son coût quant à la cohésion nationale, mais l'utilisation du territoire national à des fins déstabilisatrices est encore flagrant et ses conséquences encore plus lourdes.

Il n'est pas certain que les iraniens installés aux Comores ne le sachent pas et c'est aussi la raison pour laquelle Sambi a été poussé à faire des siens toute honte bue pour se présenter aux derniers élections présidentielles qui revenaient pourtant à la Grande Comore.

Le pavillon Comores ne doit plus continuer sa navigation incertaine et certainement dictée par des ambitions non avouables et préjudiciables à la nation. Les défiances au pouvoir en place sont d'autant plus dérangeantes qu'elles émanent de politiciens supposés élus sous une étiquette apparentée au pouvoir, autrement dans l'opposition, ils seraient dans leur droit. L'exécutif doit être renforcée et il n'est pas bicéphale.

C'est la raison pour laquelle le Colonel Azali, Président des Comores doit se ressaisir de l'unique gouvernail et s'ériger en Amiral pour sortir les Comores des eaux troublées par ceux qui ont vendu leur âme au plus offrant mais jamais pour l'intérêt général.

Le maintien de la coopération après la rupture des relations diplomatiques est contraire au droit international et en devient une violation du droit souverain de l'Etat comorien. Après s'être vu notifiés la non reconduction de leur autorisation de residence, les supposés coopérants devraient plier bagages comme il se doit. Aucun gouverneur de quelque île qu'elle soit ne peut et ne doit sans l'autorisation express de l'Etat de l'Union contracter des accords avec un autre Etat. C'est une question d'intégrité nationale, d'autorité et de souveraineté, c'est aussi une question de constitutionnalité.

Le jeu que joue le gouverneur d'Anjouan sous l'égide de son mentor "l'Ayatollah" de circonstance est doublement dangereux d'autant qu'il tire sur la corde de la fragilité sociale, pour faire germer la discorde et tout en surfant sur le conflit d'intérêt, quand ce n'est pas pour s'assurer du démembrement de la nation et la fragilisation du pouvoir en place.


Anjouan sous la botte de JUWA ne doit pas encore une fois défier la souveraineté nationale. C'est dangereux et C'est inadmissible !Par Thoueybat S O-HILALI
Le 29/ 08/ 2016

Remix de mlimadji

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#Posté le dimanche 04 septembre 2016 18:44

COMMUNIQUE DU CDISCOM (Collectif de Défense de l'Intégrité et de la Souveraineté des Comores) SUR LA CRISE ELECTORALE

 
 COMMUNIQUE DU CDISCOM (Collectif de Défense de l’Intégrité et de la Souveraineté des Comores) SUR LA CRISE ELECTORALE
 
 
COMORES : UNE HAUTE TRAHISON ASSUMEE

Ils ont osé ! Ils, ce sont les 25 candidats aux « Présidentielles 2016 », la classe politique comorienne, le Gouvernement comorien avec à sa tête le Président Ikililou, les institutions de l'Etat... qui n'éprouvent aucun scrupule à sacrifier les intérêts supérieurs de leur pays, sur l'autel des courses présidentielles de 2016, échues  pourtant de droit, à l'ile comorienne de Mayotte, en prenant le risque de verrouiller pour de bon, la revendication de l'île comorienne de Mayotte, pour faire plaisir au pays occupant. La mauvaise volonté manifestée par les autorités comoriennes promptes à passer au deuxième cycle des « Tournantes », en faisant fi  du tour de Mayotte, est un reniement abject, de la promesse faite le 17 février 2001, lors des accords de Fomboni. Promesse engageant les signataires de cet accord, à se retrouver au terme du premier cycle des « Tournantes » des 4 îles (Ngazidja Ndzuwani, Mwali et Maore), pour dresser un état des lieux et poser les bases d'institutions démocratiques viables et pérennes adaptées aux réalités comoriennes du moment. Car à y regarder de plus près, la Constitution comorienne  recèle bien des solutions de rechange, à même de permettre à ce premier cycle de « Tournante », d'aller à son terme, avant l'inéluctable droit d'inventaire, qui déciderait de la poursuite ou non d'un autre cycle de « Tournantes ». Nous estimons au CDISCOM que « les Assises nationales » initiées par le « Mouvement du 11 août » et puisées au puits des valeurs véhiculées par l'esprit et la lettre de la Constitution comorienne, arrivaient à point nommé pour fournir, à défaut de la « Tournante de Mayotte », un échappatoire inespéré à cette classe politique comorienne et plus particulièrement au Président Ikililou, devenu par la force des choses, un agent supplétif de l'occupation par la France de l'île comorienne de Mayotte, au détriment des intérêts supérieurs de la nation comorienne. Des « Assises nationales » qui seraient chargées, à défaut de « Tournante de Mayotte », de  faire à l'occasion de cette interruption incongrue du premier cycle des « Tournantes », le bilan des 40 ans d'indépendance, avant les élections présidentielles et des gouverneurs en 2016. L'on sait ce qu'il en est advenu !
 
On ne peut en même temps, comme aiment à le faire les autorités comoriennes, se targuer de respecter et défendre la Constitution comorienne et la violer allègrement, voire même s'en affranchir lorsqu'il s'agit de satisfaire les intérêts de la France. Pour notre part, nous nous refusons de cautionner des mascarades
d'élections, concoctées dans les officines de la « Françafrique », afin d'éloigner encore plus, l'île comorienne de Mayotte de son ensemble naturel. Nous refusons après cette imposture manifeste, d'être mis  devant le fait accompli par ces usurpateurs grand'comoriens, en participant à leur cuisine politicienne, pour savoir qui a triché, qui a volé quoi, qui a insulté qui etc. La « Tournante » de Mayotte qui est consubstantielle à la revendication de l'île comorienne de Mayotte est une question nationale, autour de laquelle, tous ces affidés de la puissance occupante de l'île comorienne de Mayotte, étaient en principe censés se retrouver, afin de bannir pour de bon, tout ce qui peut ressembler à un marché de dupes ou autre compromission juridico-constitutionnelle, destinés à torpiller tout projet de rapprochements, d'échanges, d'ententes, du vivre ensemble... entre Comoriens des quatre îles. Une chose est sûre : les parties comoriennes et françaises n'en prennent pas le chemin ! Pire : la grande majorité des responsables politiques comoriens, se gardent bien, de dire ou de faire quoi que ce soit, qui puisse indisposer, de quelque manière que ce soit, la puissance occupante de l'île comorienne de Mayotte. Il va donc de soi, que le triptyque : « intégrité, souveraineté et unité », qui nous est si cher et que nous qualifions de non négociable, ni cessible et encore moins négociable, n'a aucun droit de cité dans les média et discours officiels.  
 
Nous au CDICOM (Collectif de Défense de l'Intégrité et la Souveraineté des Comores), nous continuerons contre vents et marées à nous battre sans trêve ni pause, comme nous l'avons toujours fait, jusqu'à ce que les institutions comoriennes(Gouvernement, Parlement, Cour constitutionnelle...), se décident à se ressaisir  et à se mettre  en branle, pour que Mayotte bien  qu'occupée par la France, ait droit,  ne serait-ce que symboliquement, aux prérogatives dévolues aux trois autres îles s½urs, au nom de la sacro sainte appartenance de Mayotte à son ensemble naturel comorien. Et ce, soit dit en passant, en dépit d'une part, de la non promulgation par le Président Azali de la loi organique adoptée le 4 juin 2005, par l'Assemblée Nationale de l'Union des Comores, intégrant l'île de Mayotte dans l'agenda de la présidence tournante des Comores et d'autre part, à la fin de non recevoir adressée par le Président Sambi à une requête du Comité Maore, pourtant approuvée par la Cour constitutionnelle, demandant le rétablissement, conformément à la Constitution, de quatre vice-présidents, dont celui de Mayotte, pour chaque candidat aux « Tournantes présidentielles » etc. La population comorienne attend donc toujours, de leurs responsables politiques, qu'ils se comportent, non en agents supplétifs de l'occupation française à Mayotte, mais en vrais patriotes comoriens, respectueux de l'esprit et de la lettre de la Constitution et des résolutions pertinentes des instances internationales.
 
Dès lors, on est en droit de se demander aujourd'hui, si plus de quatre décennies d'indépendance, les Comores fortes malgré tout, du soutien de la communauté et des résolutions des instances internationales,  n'ont pas mieux à faire, face à une puissance occupante, qui n'a d'autres arguments, que la politique de la raison et de la loi du plus fort. Plus de quatre décennie de mépris, de souffrance, d'humiliations et de déstabilisations, auraient dû raisonnablement inciter le gouvernement Ikililou à sortir de cette posture pleutre et veule, qui tient plus de la soumission à la « Françafrique », que du patriotisme assumé. Et le reniement arbitraire de la « Tournante » de Mayotte, par le Président Ikililou revient dans un sens, à faire le jeu de l'administration française, en consolidant du coup, l'occupation par la France de l'île comorienne de Mayotte. Tant d'occasions manquées au regard de ce récurrent différend franco-comorien sur Mayotte, n'ont  de cesse d'éreinter la confiance et l'image et de la classe politique et surtout du président Ikililou, qui n'a pas su jusqu'ici, capitaliser tous les atouts à sa disposition, susceptibles de faire évoluer favorablement le contentieux franco-comorien sur Mayotte. Force est de constater que le Président Ikililou, a marqué pour l'histoire, les années de sa législature, du sceau de l'incompétence, et surtout du meilleur agent de la « françafrique », pour le grand malheur de Mwali (son île natale) et des Comores (son pays).
 
Cela étant, le CDISCOM continue de plus bel à se battre à fer émoulu pour toujours promouvoir la démocratie, la justice, les libertés démocratiques, le développement etc.

LE 04 AVRIL 2016
CDISCOM

COMMUNIQUE DU CDISCOM (Collectif de Défense de l’Intégrité et de la Souveraineté des Comores) SUR LA CRISE ELECTORALE

Remix de CDISCOM

Tags : UNION DES COMORES, Grande Comores, ANJOUAN, moheli, MAYOTTE, Ile Maurice, seychelles, REUNION 974
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#Posté le mercredi 11 mai 2016 19:02

Le courrier présidentiel 2016: Quoi de neuf?

MOUIGNI-MAMADOU sont montés sur le ring aujourd'hui!

Le courrier présidentiel 2016: Quoi de neuf?
Moi-aussi je veux faire comme SAMBI, montrer que je suis populaire! Mais ce que certains n'ont pas compris, SAMBI ne distribue pas des bahacha!

En effet aujourd'hui, le gouverneur MOUIGNI Baraka et le vice président Mamadou ont tous deux déposé,respectivement, leurs candidatures à la cour constitutionnelle. Accrochez-vous bien, ces personnalités en exercice ont mobilisé le tout Ngazidja à Moroni avec l'argent des contribuables comoriens. Chacun a financé les frais de transport de tout ce beau-monde et cerise sur le gâteau chaque délégation villageoise a reçu une enveloppe. J'espère que la prochaine fois, ils ne distribueront pas les bahachas, ni payer les frais de transport de ces délégations et là on verra si le rassemblement sera possible.
mbadakome



Suivez ces grands débatteurs
Vous allez vous faire une idées sur ces 3 candidats ici présents ou représentés. Les uns déclarent qu'ils fermeront les banques qui ne rentreront dans le fond d'investissement, les autres ont comme projet de lister les besoins, mise en place des mécanismes financiers par l'ouverture d'un guichet unique, et enfin la mise en place des banques d'initiatives populaires. A méditer
 

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Enfin,  madame Moinaecha DJALAL a réussi son pari
Le courrier présidentiel 2016: Quoi de neuf?Le courrier présidentiel 2016: Quoi de neuf?
Accompagnée par le faiseur de président de la place, le sulfureux ARM, madame Moinaecha DJALAL a retiré sa candidature le 16 décembre dernier et a pu s'acquitter de sa caution sans ambages. Le moins que l'on puisse dire, il nous a prouvé qu'après l'obstruction émise sur sa candidature par la 1ere autorité réligieuse du pays, elle peut aller au bout de son projet malgré les obstacles. Surtout, elle vient de tordre le coup à tous ceux qui avaient lancé la rumeur ici, en France comme quoi , la femme d'affaires sans affaires, s'est évanouie dans la nature faute des moyens pour financer sa campagne. Une chose est sure, elle est en bonnes mains avec le Dr ARM. Et pour cause, ce dernier il est le conseiller de 3 candidats : Mamadou, général SALIMOU et madame Moinaecha DJALAL.
en tout cas avant d'arriver au sommet, elle a déjà le Mharuma et la tenue adéquate pour exercer la fonction de présidente.
Mbadakome

Remix de mbadakome1

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#Posté le samedi 19 décembre 2015 00:24

COMORES : Déclaration Candidature Sambi 2016.

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Remix de wongo

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#Posté le samedi 19 décembre 2015 00:10

Ses archives (34)

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